Une archiviste médicale et une adjointe administrative s’assurent ensuite que le délai maximal passé à patienter sur la liste d’attente pour chaque test soit respecté. Une infirmière pivot est également disponible pour aider les patients à s’y retrouver.
Cette équipe suit présentement environ 1000 cas de cancer du poumon. Le délai entre la première rencontre avec un spécialiste (généralement un pneumo-oncologue) et le premier traitement est passé de 76 jours au début du projet à 58 jours en 2011.
« C’est une question d’organisation toute simple », souligne M. Jarislowsky, pour qui il y a un important problème de gouvernance dans les hôpitaux. « Les hôpitaux devraient être mieux gérés que des entreprises, il ne faut pas jouer avec la vie des gens. »