Beaucoup de vignobles restent toutefois à l'écart de la révolution internet. "Les vignerons sont habitués à prévoir ce qu'ils doivent planter maintenant et ce qu'ils récolteront dans dix ans et nous, nous parlons de ce qu'il faut répondre dans un tweet en 15 secondes", relève J. Smoke Wallin, l'organisateur du salon qui s'est achevé mercredi.
Selon lui, la viticulture a toutefois beaucoup à gagner avec internet en termes de relations avec les clients et de données sur leurs ventes.
"Cette révolution de l'information est actuellement la principale force de mouvement dans l'économie", a assuré Dave Maney, du site Economaney.com, devant les participants du salon.