Pour son confrère Gregory Michael, de BMO Marchés des capitaux, la croissance sera réduite de 1,4% par rapport à ce qu'elle aurait pu être, pour un tiers à cause de la hausse des cotisations sociales à la charge des salariés.
De façon générale, les économistes s'accordent pour dire qu'en dépit de l'accord, le fort climat d'incertitude entourant l'évolution de la politique budgétaire et fiscale du pays inquiète toujours les entreprises. Celles-ci pourraient donc mettre en sommeil leurs projets d'embauches et d'investissements comme elles l'ont fait en 2012.
Pour M. Daco, "les entreprises manquent encore nettement de confiance".