François Rochon, gestionnaire de portefeuilles de Giverny Capital, ne s'inquiète pas outre mesure de ces «disparations boursières».
«C'est typique de la fin d'un marché boursier baissier. De nombreuses entreprises, considérées bon marché, sont acquises et privatisées. À l'inverse, lors de période haussière (bull market), il y a un tas de nouvelles entreprises qui sont inscrites en Bourse», remarque le gestionnaire.
M. Rochon souligne qu'il y a toujours de nouvelles entreprises qui réalisent des premiers appels publics à l'épargne. Au Québec, dit-il, un des exemples les plus probants est l'entrée en Bourse de Dollarama le 8 octobre 2009.
Le titre de la chaîne québécoise de magasins à 1$ a procuré un rendement de...245% depuis son inscription.