Des discussions avec la direction ont permis à M. Landry d'apprendre que l'entreprise entend mettre en place une structure fiscale qui lui permettra de déduire deux fois les dépenses d'intérêts liées à la transaction: une première fois au niveau de la filiale européenne et une autre fois au niveau de la société mère québécoise.
SFR exploite environ 2300 stations-service en Scandinavie et en Europe de l'Est. La pétrolière Statoil, qui est contrôlée par le gouvernement norvégien, détient 54 pour cent des actions de SFR et a déjà accepté de céder sa participation à Couche-Tard.
L'action de Couche-Tard a clôturé à 42,85 $ lundi, en baisse de 0,1 pour cent, à la Bourse de Toronto, alors que celle de SFR a terminé la séance à 51,35 couronnes, en hausse de 0,4 pour cent, à la Bourse d'Oslo.