Et ce, dans une totale improvisation qui frise le ridicule, lorsque l'on sait qu'il s'agit tout de même d'une institution responsable de plus de 120 G$ d'actifs.
Y a-t-il un dirigeant d'entreprise, de syndicat, de groupe communautaire ou même de groupuscule communiste encore assez sain d'esprit pour ne pas interviewer au moins un autre candidat à la direction de l'organisation, même si le cv que vous avez devant vous comble toutes vos attentes? Robert Tessier, le nouveau président du conseil de la Caisse, n'a même pas daigné rencontrer le seul autre candidat intéressé au poste le plus stressant de l'industrie financière québécoise.
Lisez la suite et commentez sur le blogue de Finance et Investissement