Crédit: Bloomberg
Les entreprises québécoises qui brassent des affaires en Tunisie et en Égypte suivent de près les répercussions des soulèvements populaires en Égypte et en Tunisie.
Doivent-elles s’inquiéter? «Il faut être patient. La patience paie, en bout de ligne, sur les marchés internationaux», soutient Belgacem Rahmani, chargé de formation au service de l'enseignement des affaires internationales, à HEC Montréal.
«Ce sont les impatients qui vont à la fois perdre en argent, en énergie et en temps», ajoute ce spécialiste de la région.
Belgacem Rahmani, chargé de formation au service de l'enseignement des affaires internationales, à HEC Montréal, partage avec nous sa lecture de la situation, dans la perspective des entreprises québécoises qui ont des activités dans la région.
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