Ce regain d’optimisme est atténué par les craintes, toujours très vives, sur la santé des établissements bancaires. Ils sont 48% des gestionnaires de portefeuille à recommander une exposition réduite à ce secteur. Ils sont aussi très pessimistes sur l’évolution des indices boursiers européens et japonais.
«Le sort des marchés boursiers dépendra du rapport de force entre l’optimisme qui pousse à l’achat et ces craintes sur les financières qui refroidissent par rapport à la prise de risque», souligne Michael Hartnett, directeur de la stratégie d’investissement international de Banc of America Securities-Merrill Lynch.