[Photo : Bloomberg]
La catastrophe semble évitée alors que le rejet de l’austérité par les citoyens grecs n’a pas été assez fort pour provoquer un casse-tête politique dans la zone euro. Les investisseurs ne s’en enthousiasment pas pour autant.
Un achoppement évité, un autre se dressent dans la mire. Les investisseurs regardent du côté de l’Espagne, dont l’économie est plus forte. Les taux des obligations espagnoles sont en croissance.
Le rendement des obligations 10 ans du gouvernement espagnol a gagné 4,13%, dépassant le seuil des 7% à 7,15%.
« Je ne suis pas sûr que l’élection ait résolu quoi que ce soit, mais, du point de vue de l’investisseur, c’est une bonne nouvelle que les Grecs ne s’opposent pas à l’euro, affirme à Market Watch Paul Nolte, directeur de Dearborn Partners. Il y a tellement de données qui ne sont pas liées aux sociétés que les investisseurs ne savent plus où tourner de la tête. »
L’action de Research In Motion (RIM) perd 2,69% à 10,87$. Le fabricant de composantes informatique Celestica cessera de collaborer avec le fabricant du BlakcBerry.
À la fermeture, voici l’état de la situation à Toronto et New York :
— Le S&P/TSX monte de 76 points, ou 0,66 %, à 11 601 points;
— Le S&P 500 ajoute 2 points, ou 0,14 %, à 1 345 points;
— Le Dow Jones perd 25 points, ou 0,2 %, à 12 742 points;
— Le Nasdaq avance de 23 points, ou 0,78 %, à 2 895 points;
— Le baril de pétrole s’enlise de 0,83 $ US, ou 1 %, à 83,21 $ US;
— L’once d’or s’apprécie de 1$ US, ou moins de 0,05 %, à 1 628,40 $ US;
— Le dollar canadien se déprécie de 0,30 cent US, à 97,60 cents US.
