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Les marchés américains ont connu leur meilleure semaine de l’année 2012, particulièrement grâce à la séance de mercredi.

Cette semaine, le S&P/TSX à Toronto progresse de 1,22%. À New York, le S&P 500 monte de 3,76%, le Dow Jones avance de 3,59% et le Nasdaq gagne 4,04%.

Après la débâcle de mai, les indices se sont payé un rebond technique. L’humeur sur le parquet est influencée par la spéculation sur une intervention des banques centrales, l’intervention de la Chine pour soutenir l’économie et l’espoir que les nuages qui assombrissent l’horizon économique dans la zone euro finissent par se dissiper.

Vendredi, Wall Street a avancé, malgré les inquiétudes sur l’Espagne. À Toronto, la chute du pétrole plombe le S&P/TSX. Le marché de l’emploi qui connaît une croissance moins grande tempère aussi les humeurs.

Les marchés américains ont commencé la séance au rouge. L’appel du président américain Barack Obama en faveur d’une approbation de son plan pour l’emploi par le Congrès a redonné un peu de vigueur au marché

L’Espagne suscite toujours des inquiétudes. L’agence de presse Reuters affirme que le pays demandera samedi l’aide de ses collègues de la zone euro en vue de recapitaliser son système bancaire.

À la fermeture, voici l’état de la situation à Toronto et New York :

— Le S&P/TSX glisse de 91 points, ou 0,79 %, à 11 501 points;

— Le S&P 500 gagne 11 points, ou 0,81%, à 1 327 points;

— Le Dow Jones gagne 93 points, ou 0,75 %, à 12 554 points;

— Le Nasdaq avance de 27 points, ou 0,97 %, à 2 858 points;

— Le baril de pétrole enlève 0,33 $ US, ou 0,40 %, à 84,49 $ US;

— L’once d’or coule de 5 $ US, ou 0,32 %, à 1 593 $ US;

— Le dollar canadien se déprécie de 0,01 cent US, à 97,40 cents US.