Power Corporation persiste: non au vote sur la rémunération

Publié le 10/04/2013 à 17:33, mis à jour le 11/04/2013 à 07:15

Power Corporation persiste: non au vote sur la rémunération

Publié le 10/04/2013 à 17:33, mis à jour le 11/04/2013 à 07:15

Par La Presse Canadienne

Alors que la quasi-totalité des grandes institutions financières canadiennes consultent désormais leurs actionnaires sur la rémunération de leurs hauts dirigeants, le conglomérat financier Power Corporation (TSX:POW) continue de s'opposer fermement à cette pratique.

Dans la circulaire publiée mercredi en vue de l'assemblée annuelle des actionnaires, qui aura lieu le 15 mai à Winnipeg, Power affirme que la tenue d'un vote consultatif "ne serait pas dans l'intérêt ni de la société ni de ses actionnaires". L'entreprise répond ainsi à une proposition faite par le Mouvement d'éducation et de défense des actionnaires (MÉDAC).

Le conglomérat montréalais soutient "qu'il est important de maintenir la distinction entre le rôle du conseil et celui des actionnaires" et que sa politique actuelle "permet d'établir une correspondance entre les intérêts des actionnaires et la nécessité de faire preuve de souplesse et de conviction dans l'établissement de conditions de rémunération appropriées".

Power ajoute que les programmes de rémunération des hauts dirigeants "sont de plus en plus complexes" et "doivent tenir compte d'un certain nombre de facteurs", de sorte que "les administrateurs et le comité de rémunération de la société sont les mieux placés pour superviser les conditions de rémunération".

À la une

Bourse: records en clôture pour Nasdaq et S&P 500, Nvidia première capitalisation mondiale

Mis à jour le 18/06/2024 | lesaffaires.com, AFP et Presse canadienne

REVUE DES MARCHÉS. Les titres de l’énergie contribuent à faire grimper le TSX.

Stellantis rappelle près de 1,2 million de véhicules aux États-Unis et au Canada

Environ 126 500 véhicules au Canada sont concernés par le rappel.

Le régulateur bancaire fédéral maintient la réserve de stabilité intérieure à 3,5%

L’endettement des ménages reste une préoccupation pour le Bureau du surintendant des institutions financières.