Mega Brands tout juste rentable au quatrième trimestre

Publié le 14/03/2012 à 08:39, mis à jour le 14/03/2012 à 08:49

Mega Brands tout juste rentable au quatrième trimestre

Publié le 14/03/2012 à 08:39, mis à jour le 14/03/2012 à 08:49

Par lesaffaires.com

Photo: Bloomberg

La relance de Mega Brands semble plus difficile que prévu. Le fabricant montréalais des jouets a vu son bénéfice net fondre de 98 % au quatrième trimestre de 2011, en raison notamment de la diminution des ventes de jouets aux États-Unis.

L’entreprise qui fabrique notamment les jouets de construction Mega Bloks a enregistré un bénéfice net ajusté de 300 000 $ ou 0,02 $ par action (tous les résultats sont en dollars américains), comparativement à 11,5 millions $ ou 0,70 $ par action au quatrième trimestre de 2010.

Les analystes prévoyaient un bénéfice de 0,15 $ par action.

Le chiffre d’affaires de Mega Brands a reculé de 3 % au cours de la période la plus importante de l'année pour les ventes de jouets, pour s’établir à 108,5 millions $, contre 111,8 millions $ au même trimestre de 2010.

L’entreprise souligne que le chiffre d’affaires de la gamme Jouets a diminué de 8 % après une séquence de huit trimestres consécutifs de hausses.

À la mi-février, l’analyste Martin Landry, de GMP Valeurs mobilières, s’était dit confiant envers les perspectives de Mega Brands en dépit de la concurrence accrue dans le créneau des jouets de construction. Il avait conservé sa cible de 10 $ pour l’action de l’entreprise.

Le titre de Mega Brands a clôturé à 7,88$ mardi, en hausse de 0,08 $.

À suivre dans cette section

À la une

Bourse: records en clôture pour Nasdaq et S&P 500, Nvidia première capitalisation mondiale

Mis à jour le 18/06/2024 | lesaffaires.com, AFP et Presse canadienne

REVUE DES MARCHÉS. Les titres de l’énergie contribuent à faire grimper le TSX.

Stellantis rappelle près de 1,2 million de véhicules aux États-Unis et au Canada

Environ 126 500 véhicules au Canada sont concernés par le rappel.

Le régulateur bancaire fédéral maintient la réserve de stabilité intérieure à 3,5%

L’endettement des ménages reste une préoccupation pour le Bureau du surintendant des institutions financières.