Metro (Tor., MRU, 62$): le pire des trois
Des trois principaux épiciers, Metro est le détaillant ayant le moins de catalyseurs, croit David Hartley, de Credit Suisse.
«Metro a peu de leviers qui lui permettraient de créer de la valeur pour les actionnaires, estime-t-il dans une note. Il reste le rachat d’actions et l’augmentation du dividende, mais nous croyons que la valeur du titre reflète ces deux occasions.»
Le «trop grand nombre» d’épiceries en Ontario rend la situation plus difficile tandis que les détaillants doivent lutter pour conserver leurs parts de marché et leurs marges. Metro, pour sa part, semble avoir décidé de protéger ses marges contrairement à Loblaw, note l’analyste.
Il abaisse sa cible de 72$ à 65$ et maintient une recommandation «neutre». S.R.