Les élues sont rares, et M. Rizk aime les acheter lorsque leur cours baisse et les conserver longtemps. En général, le gestionnaire de Montréal déniche la moitié de ses élues aux États-Unis où le dynamisme inégalé du système capitaliste et l'agilité des entreprises en multiplient le nombre.
«Dans les marchés développés, les investisseurs sous-estiment l'avantage que procure sur les rendements à long terme une économie aussi flexible qui croît de 3 % au lieu de près de zéro. L'effet de composition à long terme d'un tel point de départ est énorme», explique le gestionnaire de 40 ans.
Le récent recul des Bourses aura été de trop courte durée pour que M. Rizk puisse saisir les occasions qu'il convoitait, mais ce n'est que partie remise, dit-il.