Dans ce contexte, M. Ollenberger mise sur la qualité avec la pétrolière intégrée Suncor (Tor., SU, 35,75 $), qui a chuté de 23,5 % depuis le sommet de son titre en juin.
La société, qui a acquis Petro-Canada en 2009, bénéficiera de la rentabilité que lui procurent le raffinage, le marketing et la vente au détail de l'essence.
Reconnue pour sa discipline, Suncor dispose d'une bonne marge de manoeuvre pour répartir son capital, puisque son bilan est sain et que ses flux de trésorerie sont élevés.
«Certains de ses projets produisent à un coût de 30 $ à 40 $ US le baril. Toutefois, si ses flux de trésorerie venaient à chuter, la société a beaucoup de flexibilité pour reporter des projets et des dépenses sans nuire au maintient de ses activités existantes ou au versement de son dividende», dit l'analyste de BMO.