À surveiller: Loblaw, Cogeco et TVA

Publié le 06/11/2017 à 09:24

À surveiller: Loblaw, Cogeco et TVA

Publié le 06/11/2017 à 09:24

Que faire avec les titres de Loblaw, Cogeco et TVA? Voici quelques recommandations qui pourraient influencer les cours prochainement. Note: l'auteur peut avoir une opinion différente de celle des analystes.

Loblaw (L, 67,39$): un nouveau frais pour les fournisseurs

BMO Marchés des capitaux renouvelle une recommandation "surperformance".

Peter Sklar indique que l'épicier vient d'expédier une lettre à la plupart de ses fournisseurs pour l'introduction d'un nouveau frais d'approvisionnement. Les fournisseurs qui utilisent ses centres de distribution se verront appliquer un tarif de 0,79% alors que ceux qui livrent directement aux établissements auront une moindre charge (estimée à 0,25%).

SUIVRE SUR TWITTER: F_POULIOT

L'analyste note que le vocabulaire utilisé dans la lettre semble destiné à laisser peu de place à la négociation. Il calcule que Loblaw pourrait à prime abord aller chercher 160 M$ grâce à cette mesure, mais que le résultat final sera vraisemblablement autour de 80 M$, plusieurs fournisseurs tentant de contrer en haussant leurs prix.

Un gain net de 80 M$ signifierait une hausse de 3% de son anticipation de bénéfice 2018.

M. Sklar indique que si ce type de demande peut améliorer la rentabilité à court terme, il est préoccupé par le fait qu'elle puisse nuire aux relations avec les fournisseurs et affecter leurs initiatives innovantes.

La cible est maintenue à 82$.

À la une

Bourse: records en clôture pour Nasdaq et S&P 500, Nvidia première capitalisation mondiale

Mis à jour le 18/06/2024 | lesaffaires.com, AFP et Presse canadienne

REVUE DES MARCHÉS. Les titres de l’énergie contribuent à faire grimper le TSX.

Stellantis rappelle près de 1,2 million de véhicules aux États-Unis et au Canada

Environ 126 500 véhicules au Canada sont concernés par le rappel.

Le régulateur bancaire fédéral maintient la réserve de stabilité intérieure à 3,5%

L’endettement des ménages reste une préoccupation pour le Bureau du surintendant des institutions financières.