> L'irrésistible attrait de la nouveauté. L'employé commence à sérieusement penser à créer sa start-up à partir du moment où l'idée qu'il souhaite développer n'a que peu de rapport avec celles qui sont habituellement prisées par son boss (et donc, par l'entreprise pour laquelle il travaille).
> Le danger insoupçonné de l'exploration. Plus le boss permet à l'employé d'explorer de nouvelles voies d'innovation, plus le risque est grand de voir celui-ci s'enticher d'une idée n'ayant que peu de rapport avec celles qui sont habituellement prisées par l'entreprise. Et par suite, de le voir sérieusement penser à créer sa start-up.
> La meilleure situation possible. Il existe bel et bien un point d'équilibre optimal. Celui-ci survient lorsque l'employé à une grande marge de manœuvre – pour ne pas dire carte blanche – en ce qui concerne non pas l'exploration d'idées neuves, mais le développement d'une idée intéressante pour les deux parties, à savoir l'employé et son boss (ou l'entreprise, si vous préférez).
Par conséquent, l'idéal n'est jamais d'accorder carte blanche aux employés les plus créatifs, ni de les cantonner au petit pré carré dans lequel l'entreprise excelle déjà. Il y a un "juste milieu" entre les deux, et celui-ci survient lorsque les employés les plus créatifs peuvent s'y prendre comme ils le veulent pour concrétiser une idée neuve qui séduit leur boss.