Le truc, c'est de cultiver la dynamique interpersonnelle... Photo: Shutterstock
L'engagement, la motivation, le fameux 110%... Tous ces termes apparaissent ici et là, ces temps-ci, lorsqu'on parle de management. Parce que, soyons honnêtes, avec le départ à la retraite des baby-boomers et l'arrivée croissante des milléniaux, les employeurs ne savent plus trop comment s'y prendre pour inciter les uns à donner un dernier coup de collier et pour encourager les autres à mettre le pied à l'étrier. Pas vrai?
Découvrez mes précédents billets
Ma page Facebook
Mon compte Twitter
Alors? Y a-t-il une bonne manière de s'y prendre pour motiver ses employés? Ou plutôt, plusieurs bonnes manières puisqu'on s'adresse à des profils de personnes distincts? Et donc, plusieurs mauvaises également? Impossible de trancher, me direz-vous.
Eh bien, détrompez-vous! Car j'ai mis la main sur une étude fascinante à ce sujet, intitulée What motivates us for work? Intricate web of factors beyond money and prestige. Celle-ci est le fruit du travail de : Nadja Damij, professeure de science de l'information à la Faculté de science de l'information de Novo mesto (Slovénie); Zoran Levnajic, professeur de science physique à la même Faculté; Vesna Rejec-Skrt, directrice de projet, du fabricant de composants électroniques Varsi; et Jana Suklan, doctorante en statistique à l'Université de Ljubljana (Slovénie). Et elle apporte une réponse lumineuse à ces interrogations lourdes de conséquences pour l'avenir des entreprises.