Ne pas le savoir nous mène toujours nulle part... Photo: DR
Aujourd'hui, j'ai envie de vous bousculer un peu. D'accord? Parfait. Je vais m'y prendre avec une simple interrogation : «Pour quoi travaillez-vous, au juste?». À noter la particularité de cette question : j'ai bien écrit «pour quoi», en deux mots, et non pas «pourquoi», en un seul mot.
Maintenant, relisez l'interrogation - «Pour quoi travaillez-vous, au juste?» -, prenez une feuille de papier et un crayon, puis rédigez votre réponse. En deux ou trois phrases. Pas plus. Go!
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Ça y est? Très bien. Mettez tout ça de côté, et poursuivez à présent la lecture de ce billet. Vous allez voir, cela va vous passionner, c'est promis.
Jacques Forest, professeur de psychologie organisationnelle à l'ESG de l'UQÀM, a eu la gentillesse de me faire parvenir hier une étude qu'il a cosignée avec six autres chercheurs : Anaïs Thibault Landry, assistante de recherche à l'UQÀM, à Montréal (Canada); Julian Kindlein, consultant chez le Boston Consulting Group, à Boston (États-Unis); Sarah-Geneviève Trépanier, professeure de psychologie à l'UQÀM; Drea Zigarmi, consultant en management chez Ken Blanchard Companies, à Escondido (États-Unis); Dobie Houson, directrice des recherches chez Ken Blanchard Companies; et Felix Brodbeck, professeur de psychologie organsationnelle à l'Université Louis-et-Maximilien de Munich (Allemagne). Cette étude est intitulée Why individuals want money is what matters: Using self-determination theory to explain the differential relationship between motives for making money and employee psychological health. Et ses résultats devraient éclairer votre quotidien au travail sous un tout nouveau jour, je crois.