L'idée, c'est de se sentir comme Saint-Louis sous son chêne... Photo : DR.
BLOGUE. Vous comme moi, nous prenons des décisions tous les jours, certaines plus importantes que d’autres. À chaque fois, diverses émotions nous assaillent pour nous tirailler à droite et à gauche, pour nous inciter à peser le pour et le contre, pour nous empêcher de trancher trop vite. Et parfois, nous reportons notre décision aux calendes grecques…
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Pourquoi cela se produit-il? Qu’est-ce qui fait que certaines décisions sont si difficles à prendre? Eh bien, la réponse réside en grande partie dans notre cerveau. Ou plutôt, dans la façon dont nous élaborons nos pensées, certaines formes de pensées étant plus perméables que d’autres aux émotions.
C’est ce que j’ai appris en parcourant une étude passionnante sur le sujet, intitulée When does feeling of fluency matter? How abstract and concrete thinking influence fluency effects. Une étude signée par Claire Tsai, professeure à la Rotman School of Management, et Manoj Thomas, professeur à la SC Johnson Graduate School of Management.