C'est fait? Très bien, alors il vous suffit de consulter le commentaire qui correspond à votre cas :
> Vous avez beaucoup de A et de C. Vous avez tendance à l'autoritarisme.
«Vous savez ce que vous valez, vous aimez les défis et les sensations fortes. Vous n'hésitez pas à vous impliquer à fond dans vos tâches à accomplir. Mais voilà, vos collègues sont-ils sur la même longueur d'ondes? Ils ne partagent pas forcément votre besoin d'être constamment sous pression. Écoutez davantage ce qu'ils ont à vous dire et acceptez la contradiction, sinon vous pourriez passer pour un tyran.»
> Vous avez beaucoup de A et de D. Vous avez tendance à la victimisation.
«Connaissez-vous le petit poussin Calimero qui, au fil des dessins animés, accumulait les mésaventures et répétait "C'est trop injuste!"? Comme lui, vous êtes soumis à un stress important et vous manques de confiance en vous. Tâchez de relativiser et cessez de vous plaindre. Votre entourage appréciera grandement ce sursaut d'optimisme de votre part.»
> Vous avez beaucoup de B et de C. Vous avez tendance à la prétention.
«Votre situation professionnelle actuelle vous plait? C'est bien. Vous vous dites que tout cela est arrivé assez naturellement, de façon méritée? Tant mieux. Mais attention, votre autosatisfaction peut finir par excéder vos collègues. Si vous ne voulez pas qu'on vous prenne pour un prétentieux, cessez de donner des leçons aux autres et apprenez à vous remettre en question.»
> Vous avez beaucoup de B et de D. Vous avez tendance à la désinvolture.
«Soit vous gérez votre stress avec brio, soit vous êtes totalement imperméable à la pression. Peut-être est-ce lié au fait que vos ambitions demeurent modestes… En tout cas, vos collègues ont parfois l'impression que les reproches glissent sur vous et que votre avenir dans l'entreprise vous laisse indifférent. Prenez garde, car vous risquez de donner l'image d'un tire-au-flanc.»
Voilà. Vous en savez désormais un peu plus sur vous-mêmes. Et vous avez pris connaissance de ce qui pourrait faire en sorte que vos collègues vous apprécient mieux, jour après jour.
En passant, le moraliste français François de La Rochefoucauld disait : «Ce qui nous rend la vanité des autres insupportable, c'est qu'elle blesse la nôtre».
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