13. Je me querelle plus souvent que les autres.
14. Je ressens souvent de la rancune.
15. Je trouve très difficile d'oublier le mal qui m'a été fait.
16. Je suis toujours sur mes gardes en présence de personnes qui peuvent me faire du mal.
17. Je trouverais très difficile de pardonner à mon(a) conjoint(e) une éventuelle trahison.
18. Je trouverais difficile de pardonner à un collègue qui aurait tiré un profit personnel de mon travail.
19. Je trouve très difficile de surmonter la rancune et la haine.
20. Je n'ai pas l'ouverture d'esprit nécessaire pour réussir à pardonner.
«Maintenant, additionnez tous vos points et consultez le résultat correspondant :
> Vous avez 40 points ou moins. Pardonner n'est jamais une réelle difficulté pour vous. Comme Mandela.
> Vous avez entre 41 et 79 points. Vous êtes capable de pardonner, même si cela n'est pas toujours facile pour vous.
> Vous avez 80 points ou plus. Pardonner n'est pas dans votre nature. Comme Mugabe. Vous gagneriez fortement à tenter de changer sur ce point. Vous mèneriez, en effet, une vie plus heureuse, c'est certain.»
Pardonner? «Pardonner n'est pas oublier. Ce n'est pas tirer un trait sur le passé – ce qu'il est de toute façon impossible de faire –, mais plutôt se projeter ensemble dans le futur. C'est ne pas se contenter d'un "Désolé" temporaire, mais viser une réconciliation durable. C'est dégager les leçons du passé pour mieux évoluer à l'avenir. C'est accepter ses cicatrices, et même en tirer une force nouvelle», dit l'expert en leadership.
En passant, le psychiatre hongrois Thomas Szasz aimait à dire : «L'idiot ne pardonne pas et n'oublie pas ; le naïf pardonne et oublie ; le sage, lui, pardonne, mais n'oublie pas».