> Avantage au but commun. 55% des participants placés dans la condition C ont mis leurs 5 dollars dans le pot commun.
> Avantage aussi au synchronisme. 50% des participants placés dans la condition A ont mis leurs 5 dollars dans le pot commun.
> Faiblesse de la passivité. 33% des participants placés dans la condition D ont mis leurs 5 dollars dans le pot commun.
> Faiblesse accentuée de l'asynchronisme. 23% des participants placés dans la condition B ont mis leurs 5 dollars dans le pot commun.
Des résultats corroborés par les deux autres expériences. «Par conséquent, dès lors que nous partageons un but commun et œuvrons en même temps de manière synchrone, nous sommes portés à collaborer efficacement avec nos coéquipiers», soulignent les auteurs de l'étude.
Que retenir de tout cela? C'est évident :
> Qui entend bonifier la collaboration au sein de son équipe a tout intérêt à inciter chacun à œuvrer de manière synchrone avec les autres. Tout bonnement parce qu'avoir tous ensemble le bon rythme donne le goût d'entrer dans la danse.
En passant, le poète français Paul Éluard a dit dans Poèmes retrouvés : «Un cœur n'est juste que s'il bat au rythme des autres cœurs».
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