Deuxième vecteur. Il s'agit ici des revenus tirés des appels publics à l'épargne que pilotent les divisions de courtage des banques, des services conseils (fusions-acquisitions) de ces mêmes divisions, et des revenus de commissions et de gestion liés aux activités de conseils des particuliers et de négociation.
C'est un poste fort difficile à prédire, qui ne touche pas également l'ensemble des institutions (c'est généralement un élément important pour la Nationale et la BMO, moins pour la TD).
En 2013, ces revenus ont augmenté de 4,2 %. À la fin de 2014, ils devraient avoir bondi de plus de 10 %.
Pour 2015, CIBC voit l'environnement se maintenir et les revenus liés aux marchés rester stables. Croissance zéro. Pour 2016, elle projette une modeste avancée de 2,4 %.
Jugement personnel : ça semble à première vue un peu faible étant donné une économie en amélioration. Compte tenu de la faiblesse observée dans le secteur des ressources naturelles, et particulièrement du côté pétrolier, il vaut cependant mieux être prudent. D'accord avec le pronostic, donc.