Tout n'est pas sombre. Si jamais, la division avions d'affaires réussissait à retrouver les marges bénéficiaires de l'industrie, le titre de Bombardier pourrait, sur cette seule amélioration, retourner autour des 3-4$, estime monsieur Chamoun.
Ajoutons des améliorations de rentabilité à la division commerciale et à la division Transport, et on se retrouve alors avec un potentiel de rebond fort important.
Il faudra cependant que ces améliorations surviennent. Tout n'est pas si sombre, mais le défi d'exécution est de taille.
Il sera intéressant de voir la semaine prochaine, lors de la publication des résultats trimestriels, l'état des lieux que dresse la nouvelle direction, et les mesures qu'elle compte mettre en place.
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