Les obligations : les plus populaires depuis les creux de 2009
Ce manque de confiance se transpose aussi dans les marchés. Les investisseurs professionnels n’ont pas plus confiance en l’avenir ni dans la Bourse.
À la fin de juin, les stratèges des principales firmes de Wall Street recommandaient une répartition moyenne de 40 % dans les obligations, la proportion la plus élevée depuis les creux boursiers de l’hiver 2009.
Cela se compare à une recommandation moyenne de 27,6 %, depuis 1997, rapporte Bloomberg.
Les élections présidentielles de novembre ont donc le potentiel de lever le voile qui empêche justement les entreprises de prendre des décisions, d’investir et d’embaucher, fait valoir M. Busch.