Les titans ont encore du rattrapage à faire
En conséquence, Mme Bartels favorise à court terme les secteurs jugés « défensifs », versant des dividendes élevés tels que la santé, la consommation de base, les télécommunications et les services aux collectivités.
L’analyste technique prévoit aussi que les titres américains à plus forte capitalisation, représentés dans l’indice S&P 100, continueront leur remontée pour une deuxième année, après avoir tiré de l’arrière entre 2000 et 2010.
Les « mega caps » ont émergé en 2012 et leur leadership devrait se prolonger pour les deux à trois prochaines années, prédit Mme Bartels.
Les 450 « moins grandes sociétés du S&P 500 " s’approchent de leur sommet de 2007, mais n’ont pas réussi à le franchir à trois reprises, depuis.
Par contre, les 50 plus imposantes sociétés du S&P 500 sont encore très loin du record qu’elles avaient établi en 2000. Sans prédire un retour à la frénésie de 2000, ces nouveaux « Nifty Fifty » continueront leur rattrapage.