Cela donne une idée du potentiel, seulement à améliorer la rentabilité de sa division internationale.
La direction de Walmart a investi énormément dans ce segment depuis quelques années. Ce qui explique par exemple pourquoi le rendement des actifs de cette division est de seulement 7,6% en 2012 contre plus de 21% pour ses magasins aux États-Unis.
Il est évident que ce genre de comparaison a ses faiblesses. Dans bien des marchés aux États-Unis, les magasins de Walmart sont matures, générant beaucoup d’argent par rapport au capital investi. On ne peut demander une rentabilité semblable pour des magasins récemment acquis.
Toutefois, le défi des dirigeants est certes de continuer leur poussée internationale, mais tout en se concentrant sur l’amélioration constante de la rentabilité de ses établissements. Il y a là une grande partie du potentiel du titre à long terme.
Bernard Mooney