Après avoir examiné l’ensemble des données mises à sa disposition, l’ancien premier ministre du Québec, Jacques Parizeau, a salué notre nouveau régime. Dans un discours qu’il prononçait le 22 novembre 2011, il affirmait sans détour que « le Québec a maintenant largement rattrapé son retard. » Le même jour, en entrevue à l’émission 24h en 60 minutes à la télévision de Radio-Canada, il en remettait : « Encore une fois, monsieur Bachand a corrigé la formule des redevances très correctement, très correctement… »
Malheureusement, par pure partisanerie, le Parti Québécois fait miroiter que l’on peut doubler les revenus tirés des redevances même si elles sont déjà 36 % plus élevées que l’Ontario.
On ne joue pas avec 35 000 emplois.
Nous sommes aujourd’hui dans une position enviable qui nous permet de nous enrichir collectivement tout en attirant les entreprises d’ici et d’ailleurs à se développer chez nous.
Cet équilibre entre le respect, l’accomplissement, le développement de l’industrie et la juste part qui nous revient est désormais atteint. C’est tout le Québec qui en bénéficie.
Deux convictions ont inspiré l’action de tous les gouvernements, depuis la Révolution tranquille et le « Maîtres chez nous » de Jean Lesage :
• La mise en valeur des ressources naturelles doit d’abord profiter à l’ensemble des Québécois.
• Elle constitue l’une des bases du développement socio-économique du Québec.
Ces convictions fondent, plus que jamais, la politique d’un gouvernement libéral de mise en valeur de nos ressources naturelles. Tous les citoyens du Québec sont ainsi assurés que notre collectivité en tire le plein bénéfice.
Nous sommes un gouvernement responsable.
Nous sommes le gouvernement de l’économie.