Comment la neurophysiologie a sauvé Yellow

Publié le 27/10/2012 à 00:00, mis à jour le 23/10/2013 à 16:07

Comment la neurophysiologie a sauvé Yellow

Publié le 27/10/2012 à 00:00, mis à jour le 23/10/2013 à 16:07

Question de valeurs

Aujourd'hui, Yellow possède 90 magasins, dont 86 au Québec (trois se trouvent au Nouveau-Brunswick et un à Hawkesbury, en Ontario). Douglas Avrith n'a jamais souhaité multiplier les ouvertures à l'extérieur de sa province d'origine comme l'ont fait d'autres Québécois, tels que Reitmans, Aldo et Le Château. Et il n'a jamais souhaité croître au moyen de franchises, «car je suis un free spirit», justifie-t-il.

«J'aime mieux bien faire les choses que d'être la personne la plus riche. J'aime mon style de vie. J'aime le sport. Et je n'ai pas un gros ego», ajoute celui qui travaille tout de même 70 ou 80 heures par semaine et prend très peu de vacances. «Ce n'est pas du travail, rétorque-t-il. C'est une passion, c'est un plaisir, j'aime collaborer avec mes employés.»

L'homme d'affaires ne se satisfait pas du statu quo pour autant : il planche sur un concept de magasin Yellow qu'on devrait découvrir en 2013 ainsi que sur la création de deux enseignes, confie-t-il. Il veut être prêt pour l'arrivée au Québec du géant américain Target, un concurrent qui ne l'effraie pas du tout. Au contraire, il cherche à louer des locaux à proximité des futurs Target pour profiter de leur achalandage. Décidément, Yellow n'a pas fini de changer.

Le Groupe Yellow

Yellow 90 magasins

Cité 13 magasins

Fournier 3 magasins

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