Ubisoft demande aux partis fédéraux de soutenir une stratégie numérique

Publié le 04/04/2011 à 16:17

Ubisoft demande aux partis fédéraux de soutenir une stratégie numérique

Publié le 04/04/2011 à 16:17

Par La Presse Canadienne

Le grand patron de la filiale canadienne d'Ubisoft, Yannis Mallat, a profité lundi de la campagne électorale pour inciter les partis fédéraux à soutenir la mise en place d'une stratégie pancanadienne visant à développer l'économie numérique.

Dans un discours prononcé à la tribune du Cercle canadien de Montréal, M. Mallat a rappelé que, jusqu'à maintenant, ce sont surtout les gouvernements provinciaux, au premier chef celui du Québec, qui ont contribué à l'éclosion du secteur des jeux vidéo.

Par conséquent, l'industrie se cherche actuellement "une identité nationale", a-t-il déploré.

Le gouvernement fédéral pourrait jouer un rôle utile en facilitant l'arrivée de travailleurs qualifiés étrangers et en encourageant des investissements "complémentaires" dans le secteur, a soutenu le jeune pdg.

Avant que la campagne électorale ne soit déclenchée, Ottawa travaillait déjà à la mise sur pied d'une stratégie canadienne ciblant l'industrie numérique. Elle devait être dévoilée ce printemps, mais les élections retarderont assurément les choses.

Dans un mémoire présenté il y a un an, l'Association canadienne du logiciel de divertissement, dont fait partie Ubisoft, réclamait notamment la mise en place de nouveaux crédits d'impôt, d'aides au financement et de meilleures mesures de protection de la propriété intellectuelle.

 

À la une

Bourse: records en clôture pour Nasdaq et S&P 500, Nvidia première capitalisation mondiale

Mis à jour le 18/06/2024 | lesaffaires.com, AFP et Presse canadienne

REVUE DES MARCHÉS. Les titres de l’énergie contribuent à faire grimper le TSX.

Stellantis rappelle près de 1,2 million de véhicules aux États-Unis et au Canada

Environ 126 500 véhicules au Canada sont concernés par le rappel.

Le régulateur bancaire fédéral maintient la réserve de stabilité intérieure à 3,5%

L’endettement des ménages reste une préoccupation pour le Bureau du surintendant des institutions financières.