Rachat d'Amaya: Baazov confirme qu'il n'est pas épaulé par une firme de Dubaï

Publié le 23/11/2016 à 14:37

Rachat d'Amaya: Baazov confirme qu'il n'est pas épaulé par une firme de Dubaï

Publié le 23/11/2016 à 14:37

Par La Presse Canadienne

(Photo: capture d'écran)

Après avoir affirmé le contraire la semaine dernière, le fondateur d'Amaya, David Baazov, a confirmé mercredi qu'une firme de Dubaï ne figurait pas parmi ses partenaires financiers pour tenter de racheter la société de jeu en ligne.

Par voie de communiqué, M. Baazov, ex-dirigeant et plus important actionnaire de l'entreprise établie à Pointe-Claire, a indiqué qu'une lettre confirmant l'implication de KBC Aldini Capital dans le montage financier avait été déposée sans le consentement de cette société. 

La firme ne s'est pas engagée à fournir du financement, souligne-t-il.

M. Baazov dit toujours avoir l'intention d'acheter Amaya pour 6,7 milliards $ US, incluant la dette de l'entreprise, et compte se tourner vers d'autres sources de financement pour atteindre son objectif.

L'homme d'affaires, qui a démissionné de son poste de président et chef de la direction de la société montréalaise en août, avait dit la semaine dernière être à la tête d'un groupe d'investisseurs offrant 24 $ par action de l'entreprise. Il avait indiqué, plus tôt cette année, qu'il était prêt à allonger jusqu'à 21 $ par action pour racheter l'entreprise. 

Son offre évalue Amaya (Tor., AYA) à environ 3,48 milliards $. 

Dans le cadre de son offre de rachat, M. Baazov affirmait avoir 3,65 milliards $ US auprès des investisseurs Head & Soulders Global Investment Fund; Goldenway Capital, de Hong Kong; Ferdyne Advisory, enregistrée dans les îles Vierges britanniques; et KBC Aldini Capital, établie à Dubaï.

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