Les résidents du Québec sont moins susceptibles de commettre des cybercrimes que ceux des autres provinces canadiennes, selon une nouvelle étude réalisée par le fabricant de logiciels de sécurité Symantec et la firme de recherche indépendante Sperling's BestPlaces.
L'entreprise s'est basée sur le nombre d'incidents signalés ainsi que sur les données concernant l'accès à Internet et l'achat de matériel informatique par habitant afin de dresser le liste des 50 grandes villes du Canada les plus à risque sur le plan de la cybercriminalité.
Sur les huit municipalités québécoises citées, Montréal arrive en 25e place alors que Laval, Lévis, Trois-Rivières, Québec, Sherbrooke, Gatineau et Longueuil occupent les sept dernières positions de la liste.
C'est à Burlington, en Ontario, que revient la palme de la ville canadienne présentant le plus haut risque de cybercriminalité. Elle est suivie de Port Coquitlam, de Langley et de Vancouver (Colombie-Britannique), de Calgary (Alberta), d'Oakville et de Markham (Ontario), de Toronto, de Kelowna (Colombie-Britannique) et de Kitchener (Ontario).
Selon le rapport, plus l'accès au Web par habitant est élevé, plus le risque que les ordinateurs de la municipalité soit la cible de cybercriminalité est important.