Ledit café, qui faisait partie des plans de la fondation Osmo à la rénovation de l'immeuble, n'avait pas pu être finalisé, faute de financement. «Je pense que ceux qui ont réussissent doivent réinvestir dans les entreprises, inspirer les jeunes. On va avoir une plaque sur le mur du café qui va raconter l'histoire de PasswordBox.»
Daniel Robichaud, pour sa part, ne semble pas pressé d'ajouter un nouveau chapitre à sa carrière d'entrepreneur en série. Il voit son avenir chez Intel, à qui il est lié par un contrat pour au moins trois ans. Même s'il nous assure du contraire, parions qu'une fois cette période écoulée, Daniel Robichaud tentera, une fois de plus, de bâtir quelque chose de grand.