L'année où le numérique a battu la télévision

Publié le 08/12/2017 à 13:30

L'année où le numérique a battu la télévision

Publié le 08/12/2017 à 13:30

Par lesaffaires.com

INFOGRAPHIE. Souvent annoncé, cela s'est concrétisé cette année: les dépenses publicitaires ont préféré le numérique.

Souvent entendu, jamais constaté. Jusqu'à aujourd'hui puisque les annonceurs ont dépensé plus pour le numérique que pour la télévision traditionnelle en 2017.

Pour être précis: les dépenses numériques ont atteint 209 milliards de dollars dans le monde (41% du marché) cette année, tandis que la télévision a rapporté 178 milliards de dollars (35%), indique l'étude de Magna Global.

Gardez à l'esprit que ce n'est pas parce que les publicités télévisées sont en train de disparaître. Les dépenses sont toujours stables, ou augmentent lentement, selon l'année. Et dans la plupart des cas, les grands annonceurs de télévision n'ont pas encore transféré une grande partie de leur budget au numérique, même si Facebook et Google travaillent d'arrache-pied pour y parvenir. 

L'an prochain, Magna prévoit que les dépenses en publicité numérique augmenteront de 13% pour atteindre 237 milliards de dollars, tandis que les publicités télévisées augmenteront de 2,5% pour atteindre 183 milliards de dollars, en partie grâce à des événements ponctuels comme les Jeux olympiques et les élections de mi-mandat aux États-Unis.

D'ici 2020, Magna s'attend à ce que les annonces numériques représentent 50% de toutes les dépenses publicitaires.Connexion, le salon de la transformation numérique

 

À la une

Bourse: records en clôture pour Nasdaq et S&P 500, Nvidia première capitalisation mondiale

Mis à jour le 18/06/2024 | lesaffaires.com, AFP et Presse canadienne

REVUE DES MARCHÉS. Les titres de l’énergie contribuent à faire grimper le TSX.

Stellantis rappelle près de 1,2 million de véhicules aux États-Unis et au Canada

Environ 126 500 véhicules au Canada sont concernés par le rappel.

Le régulateur bancaire fédéral maintient la réserve de stabilité intérieure à 3,5%

L’endettement des ménages reste une préoccupation pour le Bureau du surintendant des institutions financières.