Harper s'oppose sur Twitter à une décision du CRTC

Publié le 01/02/2011 à 19:29, mis à jour le 01/02/2011 à 19:29

Harper s'oppose sur Twitter à une décision du CRTC

Publié le 01/02/2011 à 19:29, mis à jour le 01/02/2011 à 19:29

Par La Presse Canadienne

Une récente décision réglementaire modifiant la façon dont les principaux fournisseurs de services Internet du pays facturent leurs clients soulève des craintes chez des internautes.

Mardi, le premier ministre Stephen Harper a même joint sa voix sur Twitter à celle de ces internautes.

Alors que l'utilisation d'Internet est en pleine croissance, la hausse de la popularité du téléchargement _ une énorme quantité de jeux, de musique et de films est disponible en ligne _ conduit à penser que les Canadiens sont peut-être de plus grands utilisateurs qu'ils ne le croient.

Les opposants de la décision, rendue par le Conseil de la radiodiffusion et des télécommunications canadiennes (CRTC), soutiennent qu'elle ouvre la porte à des plafonds de téléchargement plus bas, à une augmentation des tarifs et à des frais plus élevés pour ceux qui dépassent les limites fixées pour la bande passante.

Et ils ne sont pas les seuls à s'inquiéter du changement de cap.

M. Harper a utilisé la populaire plateforme de microblogues Twitter pour reprendre à son compte les inquiétudes déjà exprimées par son ministre de l'Industrie, Tony Clement.

"Nous sommes très inquiets à propos de la décision du CRTC sur la facturation à l'usage et de son impact sur les consommateurs", a écrit M. Harper.

"J'ai demandé une révision de la décision."

À la une

Bourse: records en clôture pour Nasdaq et S&P 500, Nvidia première capitalisation mondiale

Mis à jour le 18/06/2024 | lesaffaires.com, AFP et Presse canadienne

REVUE DES MARCHÉS. Les titres de l’énergie contribuent à faire grimper le TSX.

Stellantis rappelle près de 1,2 million de véhicules aux États-Unis et au Canada

Environ 126 500 véhicules au Canada sont concernés par le rappel.

Le régulateur bancaire fédéral maintient la réserve de stabilité intérieure à 3,5%

L’endettement des ménages reste une préoccupation pour le Bureau du surintendant des institutions financières.