Steve Jobs. Photo : Bloomberg
La machine à rumeurs s’emballe sur de potentielles acquisitions alors qu’Apple a à sa disposition 51 G$US en liquidité. Aujourd’hui, le titre de Sony s’est apprécié de 3% à Tokyo en raison de cette rumeur.
En conférence téléphonique hier, un analyste a demandé au PDG Steve Jobs pourquoi il ne profitait pas de ses liquidités pour verser un dividende ou pour procéder au rachat d’actions. «Nous préférons garder notre force de frappe intacte, car nous croyons qu’il y aurait plus d’une occasion stratégique à l’avenir», a-t-il répondu.
Il n,en fallait pas plus pour que la presse économique et les analystes se donnent pour mission de trouver de potentielles acquisitions. Certains des noms évoqués donnent le vertige comme Disney qui a une valeur boursière de 69 G$US, rien de moins.
Outre l’empire de Mickey Mouse, Sony (33 G$US), Yahoo! (22 G$US), Adobe (14G$US), SanDisk (8G$US), Sirius (5G$US) et Netflix (8 G$US) comptent parmi les cibles potentielles. Le média social Facebook, qui n’est pas inscrit en bourse, a également été nommé.