Pour elle, « beaucoup reste à faire », car il n'existe notamment encore que « peu de choses pour les 8-12 ans », et « on ne travaille pas encore assez la tablette comme un écran de partage, avec des choses où l'on peut s'enregistrer, montrer ».
« Les éditeurs ont vraiment leur place à prendre. Mais ce sont des investissements qui sont lourds pour eux, donc il y a peut-être aussi un système de financement à trouver un peu différent, en mettant en coproduction des éditeurs et des productions audiovisuelles », ajoute-t-elle.