L'organisme de recherche indépendant estime que si le Québec souhaite favoriser la création d'emplois alors que la récession mondiale tire à sa fin, le gouvernement de la province devrait s'attarder à rendre plus flexible sa réglementation du marché du travail.
Selon l'étude, la législation dans les domaines des obligations du successeur, des changements technologiques, de l'arbitrage, des travailleurs de remplacement et du piquetage secondaire est "très favorable aux syndicats" et constitue un obstacle à de nouveaux investissements.
Le Québec obtient ainsi une note de 1,3 sur 10 en ce qui concerne l'Indice de législation en matière de relations de travail, la pire après le régime encadrant les entreprises de compétence fédérale, dont la note est de 1,1.
L'Institut Fraser estime que l'Alberta est la province canadienne ayant la législation en matière de relations de travail la plus impartiale et la moins rigide, ce qui lui vaut une note de 5,3 sur 10.
Le Manitoba obtient par ailleurs la troisième pire note avec 1,8 sur 10, suivi de la Colombie-Britannique, du Nouveau-Brunswick et de Terre-Neuve-et-Labrador, chacune de ces provinces obtenant 2,8 sur 10. L'Ile-du-Prince-Edouard a la note de 3,0; la Saskatchewan, celle de 3,2; la Nouvelle-Ecosse, 3,3; et l'Ontario, 3,4.
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