Voici en quoi consistent ces préjugés, selon Ron Crossland, président de Bluepoint Leadership Development, une entreprise américaine spécialisée dans la formation et la consultation du développement des employés :
À la suite d'une réunion, nombre de dirigeants croient que :
1. tous les participants ont compris ce qui a été dit;
2. tous sont d'accord avec ce qui a été dit;
3. tous accordent de l'importance à ce qui a été dit;
4. tous savent ce qu'ils ont à faire à la lumière de ce qui a été dit.
Pour éviter les problèmes qui peuvent découler de ces préjugés, M. Crossland suggère de recourir à trois formes de communication : factuelle, émotive et symbolique.
L'expert recommande de considérer toute communication comme un film. Si vous ne donnez pas les faits, ne démontrez aucune émotion ou n'utilisez pas les bons codes pour faire passer votre message, les intéressés seront forcés de l'interpréter à leur façon. Et le cercle vicieux se perpétuera...
Source : Report on Business - Globe and Mail