Les 12 croyances des bons patrons

Publié le 05/08/2010 à 18:01, mis à jour le 14/01/2011 à 13:14

Les 12 croyances des bons patrons

Publié le 05/08/2010 à 18:01, mis à jour le 14/01/2011 à 13:14

Qu'est-ce qui fait les meilleurs patrons? Des compétences et des connaissances, mais surtout, des croyances profondes sur lesquelles se forge leur succès.

«En adoptant les habitudes des bons patrons et en évitant les péchés des mauvais patrons, quiconque peut faire un meilleur travail pour superviser le travail des autres», soutient Robert Sutton, professeur de gestion à la Stanford University, dans un blogue paru dans Havard Business Review.

«Mais en même temps, j'en suis venu à la conclusion que toutes les techniques et les comportements enseignés dans le monde ne rendront pas un patron génial si ce patron n'a pas une certaine façon de voir les choses», ajoute l'auteur du livre The No Asshole Rule: Building a Civilized Workplace and Surviving One That Isn't.

Robert Sutton a identifié 12 croyances-clés des meilleurs patrons. Les voici :

1. J'ai une compréhension erronée et incomplète de comment les gens se sentent en travaillant pour moi.

2. Mon succès -et celui de mes employés- tient largement à la maîtrise des choses quotidiennes et évidentes et non à des idées ou des méthodes magiques, obscures ou révolutionnaires.

3. Avoir de l'ambition et des buts bien définis est important, mais il est inutile de trop y penser. Mon travail est de me concentrer sur des petites victoires qui permettent à mes employés de faire de petits progrès, tous les jours.

4. L'un des aspects les plus importants -et plus difficiles- de mon travail est de trouver le juste milieu entre être trop confiant et pas assez sûr de soi.

5. Mon travail est de servir de «bouclier humain» afin de protéger mes employés des ingérences externes, des distractions et des idioties de toutes sortes, et aussi d'éviter de leur imposer mes propres idioties.

6. Je m'efforce d'être assez confiant pour convaincre les gens qui sont à ma charge et d'être assez humble pour réaliser que je serai souvent dans l'erreur.

7. Je cherche à me battre si j'ai raison et à écouter si j'ai tort, ainsi qu'à enseigner à mes gens à faire de même.

8. L'un des meilleurs tests de mon leadership -et de mon organisation- est : «qu'est-ce qui arrive après que les gens font une erreur?»

9. L'innovation est essentielle au sein de toutes les équipes et organisations. C'est pourquoi mon travail est d'encourager mes employés à générer et à tester toutes sortes de nouvelles idées. Mais c'est aussi mon travail de les aider à éliminer toutes les mauvaises idées que nous générons et aussi, la plupart des bonnes idées.

10. Le mauvais est plus fort que le bon. Ainsi, il est plus important d'éliminer le négatif que d'accentuer le positif.

11. Comment je fais les choses est aussi important que ce que je fais.

12. Comme j'exerce du pouvoir sur les autres, je suis à haut risque d'agir comme un abruti insensible - et de ne pas le réaliser.

Pour en savoir plus...


 

 

À la une

Bourse: records en clôture pour Nasdaq et S&P 500, Nvidia première capitalisation mondiale

Mis à jour le 18/06/2024 | lesaffaires.com, AFP et Presse canadienne

REVUE DES MARCHÉS. Les titres de l’énergie contribuent à faire grimper le TSX.

Stellantis rappelle près de 1,2 million de véhicules aux États-Unis et au Canada

Environ 126 500 véhicules au Canada sont concernés par le rappel.

Le régulateur bancaire fédéral maintient la réserve de stabilité intérieure à 3,5%

L’endettement des ménages reste une préoccupation pour le Bureau du surintendant des institutions financières.