Leader : le silence n’est pas d’or

Publié le 01/02/2010 à 14:20

Leader : le silence n’est pas d’or

Publié le 01/02/2010 à 14:20

Garder le silence est la pire forme de rétroaction d'un leader car ses employés peuvent se sentir intimidés, vulnérables et ainsi s'imaginer le pire, selon Peter Bregman, pdg de Bregman Partners, une firme de consultation en gestion.
L'auteur du livre Point B: A Short Guide To Leading a Big Change affirme que ce qui rend le silence si pernicieux est l'incertitude.

«Nous ne savons pas si l'autre personne pense qu'on a fait un mauvais travail. Nous ne savons pas si l'autre personne ne nous aime pas. Donc, on se questionne. C'est ce qui rend le silence si difficile», note M. Bregman. «Cet inconfort est lié à l'incertitude. Si on savait, on gérerait cela et on poursuivrait. Mais comme on ne sait pas, on attend, on se questionne et on stresse.»

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