«Imposer des émotions personnelles pour forcer la convivialité m'apparaît une mauvaise chose. Je crois que les émotions personnelles relèvent principalement du domaine privé et ne devraient pas être imposées par l'entreprise», affirme l'auteur du livre Chief Culture Officer.
M. McCracken souligne toutefois que son point de vue n'est pas de dire que toute émotion souhaitée au travail est une violation à l'autonomie personnelle, «mais manifestement, certaines entreprises vont parfois trop loin en ce sens.»
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