Des recruteurs futés configurent maintenant des comptes et des groupes sur Twitter, LinkedIn, MySpace, et Facebook pour rester en contact avec des candidats intéressés par des offres d'emplois ou qui travaillent déjà pour un concurrent, avise M. Sullivan.
«L'intention qui se cache derrière de telles actions est généralement de détourner le bassin de candidats, d'analyser l'intelligence compétitive ou de braconner les talents existants», explique le conseiller.
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