Photo : Bloomberg (Jeffrey Katzenberg)
« La transition d’analogique à numérique a été un désastre pour l’industrie de la musique. Espérons que l’industrie du film a appris de ces erreurs », explique Jeffrey Katzenberg, le grand manitou chez DreamWorks Animation, dans une entrevue accordée à BusinessWeek.
Celui derrière Shrek, ce film d’animation qui a généré des profits monstres, estime que l’industrie du film ne disparaîtra pas de ci-tôt. « Regarder un film est une merveilleuse expérience sociale qui nous permet de rejoindre d’autres personnes. En Inde, par exemple, où plus de 450 millions de citoyens possèdent un téléphone portable, les films sont de plus en plus populaires sur ces appareils. »
Les ventes de DVD en baissent, les boîtes d’animation et de production se sont tournées vers d’autres alternatives pour mettre leur créativité en œuvre. C’est dans cette optique que Shrek a vu le jour sur Broadway à Manhattan en septembre 2009.
Succès ou échec ? Quelle est la stratégie lorsqu’un tel investissement ne rapporte pas autant que prévu ? Poursuivez la lecture sur BusinessWeek.com