Les hauts et les bas de la collaboration ouverte

Publié le 05/10/2009 à 00:01

Les hauts et les bas de la collaboration ouverte

Publié le 05/10/2009 à 00:01

Photo : iStockPhoto

La collaboration ouverte, ou la « open source collaboration », a fait son entrée dans le plan d’affaires de certaines des grandes sociétés américaines (comme Procter & Gamble et IBM) dans les années 1980. Cette collaboration avait pour but de laisser tomber les murs entourant le capital intellectuel des entreprises afin de collaborer avec des sources externes, parfois même avec des concurrents.

 

Plusieurs produits sont nés grâce à ce type de collaboration, dont le logiciel Mozilla Firefox, explique Andrea Gabor, professeur en journalisme économique Bloomberg à la City University de New York, dans son article fort détaillé sur le site Strategy + Business.

 

Évidemment, comme dans tout, ce type de collaboration a eu des hauts et des bas. Les entreprises qui l’ont adopté ont ainsi appris de leurs erreurs et ont expliqué, à Andrea Gabor, comment, selon eux, une collaboration ouverte devrait fonctionner pour être gagnante :

 

1. Avoir un message de leadership clair de la part du chef d’entreprise.

 

2. Collaborer avec vos clients.

 

3. Bâtir une culture d’entreprise qui prône la communication ouverte et la confiance.

 

4. Encourager l’amélioration continue des produits et des services.

 

5. Bâtir une infrastructure d’innovation flexible. C’est-à-dire, impliquer tous les départements concernés.

 

6. Donner de la formation à vos employés pour qu’ils aient les nouvelles compétences nécessaires au succès à l’entreprise.

 

7. Faire rimer évaluation (de vos employés) et récompense.

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