Québec met des bâtons dans les moteurs-roues d'Hydro-Québec

Publié le 26/07/2010 à 00:00, mis à jour le 26/07/2010 à 10:36

Québec met des bâtons dans les moteurs-roues d'Hydro-Québec

Publié le 26/07/2010 à 00:00, mis à jour le 26/07/2010 à 10:36

Par Alain McKenna

Les prototypes de voitures électriques qu'Hydro-Québec et que d'autres comptent essayer au Québec seront-elles confinées à des stationnements, comme celui de l'Institut de recherche électrique (IREQ), à Varennes ? C'est probable : pour différentes raisons, il est presque impossible d'immatriculer une voiture entièrement électrique au Québec.

La première des 50 i-MiEV, que Mitsubishi a remise à Hydro-Québec cet été, a son volant à droite. Or, depuis un an, Québec a imposé un moratoire sur l'importation de ce type de véhicules, en raison du danger qu'ils représentent. Selon Sylvain Castonguay, directeur technique du Centre national sur le transport avancé, à Saint-Jérôme, ce n'est pas un cas isolé. " Comme il n'y a pas de constructeur automobile établi au Québec, on doit importer des véhicules d'essai ", dit-il.

Puisqu'il s'agit souvent de prototypes, la Société de l'assurance automobile du Québec (SAAQ) refuse de les immatriculer. L'Ontario, n'a pas ce problème. " La SAAQ peut imposer un encadrement plus strict, mais nous devons essayer les prototypes sur la route ", insiste M. Castonguay.

À la une

Bourse: records en clôture pour Nasdaq et S&P 500, Nvidia première capitalisation mondiale

Mis à jour le 18/06/2024 | lesaffaires.com, AFP et Presse canadienne

REVUE DES MARCHÉS. Les titres de l’énergie contribuent à faire grimper le TSX.

Stellantis rappelle près de 1,2 million de véhicules aux États-Unis et au Canada

Environ 126 500 véhicules au Canada sont concernés par le rappel.

Le régulateur bancaire fédéral maintient la réserve de stabilité intérieure à 3,5%

L’endettement des ménages reste une préoccupation pour le Bureau du surintendant des institutions financières.