"Une fois que toutes les réclamations auront été soumises et traitées, il est probable que la facture sera plus salée que les 80 millions $ avancés", a affirmé M. Karageorgos.
Les tempêtes sont de plus en plus nombreuses au Canada depuis quelques années. Et elles sont de plus en plus violentes, d'après Pete Karageorgos. Les arbres déracinés, les lignes électriques et les voitures abîmées par la grêle ne sont que la pointe de l'iceberg.
Les compagnies d'assurance traitent un nombre grandissant de réclamations en raison des dégâts causés par l'eau, un élément qui semble être devenu encore plus menaçant que le feu.
"Le feu a été remplacé par l'eau, a résumé M. Karageorgos. Les dommages, que ce soit à la suite d'une inondation ou à la suite d'un incendie, peuvent être comparables."
En juin, le BAC a publié un rapport dans lequel on pouvait lire que les réclamations consécutives à une catastrophe naturelle totalisaient 1,6 milliard $ en 2011.