Et la conséquence de faire partie du club sélect des banques trop importantes pour être laissées à elles-mêmes pourrait être que celles qui ne veulent pas se retrouver sous la loupe des régulateurs internationaux pourraient bien décider de ne pas respecter les ratios de capitaux propres exigés dorénavant par les pays membres du G20.
De plus, le G20 cogite avec l'idée d'imposer une surtaxe aux banques issues du sélect Top 20. On pense de plus que ce groupe pourrait avoir à lever plus de capital que les autres pour compenser leur influence plus importante sur la finance mondiale.
Une situation qui ne tient pas compte de la gestion du risque beaucoup plus prudente des banques canadiennes en général.