Parmi les propriétés immobilières visées, on retrouve notamment le quartier général londonien de l'entreprise. L'entreprise a toutefois nié que ses bureaux de Hong Kong soient sur la liste des propriétés à vendre. HSBC n'a pas non plus dévoilé le montant total qu'elle souhaitait lever grâce à cette vente d'immeubles. On sait toutefois que la banque a racheté son siège social londonien pour une somme de 1,2 G$ en novembre dernier.
Si elle réussit cette opération immobilière, HSBC se distancera encore davantage de plusieurs de ses concurrents qui ont dû accepter l'aide publique à travers une nationalisation partielle. HSBC a cumulé des profits de 9,3 G$ en 2008, avant taxes, malgré des dévaluations de près de 10,5 G$.
Avec le Financial Times